Déclaration d’Alice Albright sur les cyclones dévastateurs qui ont frappé les Comores et le Mozambique
Une école avant le cyclone au Mozambique. Credit: GPE/Arnaldo Langa

Washington, D.C., 29 avril 2019 – Suite au cyclone Kenneth dévastateur qui a frappé les Comores et le Mozambique pendant le week-end, nous assurons les familles des victimes, ainsi que tous ceux qui ont souffert de cette catastrophe de notre profonde sympathie.

Alors que l’évaluation des dégâts est toujours en cours, le Partenariat mondial pour l’éducation (GPE) collabore étroitement avec les membres du groupe local des partenaires de l’éducation pour étudier les possibilités de restructuration des financements existants du GPE ou d’accélération d’un nouveau financement afin de rescolariser les enfants le plus rapidement possible.

Nous sommes en pensée auprès des populations des Comores et du Mozambique, frappées par ce second cyclone à peine quelques semaines après le passage du cyclone Idai au Mozambique, Zimbabwe et Malawi, qui a fait plus de 1 000 victimes et des milliers de disparus et de réfugiés.  

Le GPE œuvre auprès des pays touchés au renforcement de leur système éducatif national pour veiller à ce que leurs enfants bénéficient d’une éducation de qualité. Depuis 2010, la valeur totale des financements du GPE pour ces quatre pays dépasse 433 millions de dollars.

Ces mauvaises conditions climatiques de plus en plus courantes sont le produit de l’intensification du changement climatique. Le GPE continuera à aider les pays en développement à faire face aux catastrophes naturelles grâce à une éducation à l’environnement, une préparation aux situations d’urgence et une planification des réponses permettant de rendre les systèmes éducatifs plus résistants aux chocs.

Nous espérons que les pays se remettront de ce nouveau traumatisme pour reconstruire les écoles, rétablir les moyens de subsistance et consolider leur système éducatif. Le GPE est prêt à soutenir les gouvernements de tous les pays touchés dans les semaines et les mois à venir.

Une école avant le cyclone au Mozambique. Credit: GPE/Arnaldo Langa

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