Même si l’élan a été significatif depuis le lancement des objectifs de développement durable en 2015, les mesures de base préconisent la nécessité d’un changement fondamental si nous voulons nous voulons les atteindre d'ici 2030.
En tant que fournisseur de solutions de communication par satellite de premier plan, Avanti Communications s'attache à « connecter » les personnes non « connectées » et à créer des opportunités pour que les personnes, les pays et les continents puissent réaliser leurs ambitions. Nous pensons que l'éducation est une étape sur le chemin de la réussite.
En encourageant l'éducation, nous pouvons aider les enfants à construire un meilleur avenir pour eux-mêmes, leurs familles et leurs communautés.
Pour leur bien, nous ne pouvons pas nous permettre d’échouer.
Nous ne pouvons pas échouer
La technologie peut jouer un rôle essentiel dans l'amélioration de la vie des personnes vivant dans la pauvreté en leur permettant d'accéder plus facilement aux marchés, aux finances et aux services publics, notamment aux soins de santé et, surtout, à l'éducation.
Les technologies de l’éducation peuvent en effet être l'une des méthodes clés pour réaliser le changement fondamental nécessaire, en particulier lorsque l'un des facteurs critiques affectant le développement et les résultats d'apprentissage des jeunes d'aujourd'hui est la qualité de l'éducation - les classes aux effectifs surchargés, la faible disponibilité des manuels et les lacunes dans la qualité de l'enseignement ne sont que quelques-uns des défis qui limitent la croissance du capital humain.
Chez Avanti, nous croyons aux progrès que les technologies éducatives peuvent apporter pour stimuler le développement de l'éducation dans les zones rurales et éloignées, en particulier pour réduire la disparité entre les sexes.
Au Kenya, par exemple, nous menons le projet iMlango, un projet EdTech démarré en 2012 dans le cadre du Girls' Education Challenge financé par le Foreign, Commonwealth and Development Office (FCDO). Ce projet concerne 245 écoles primaires et établissements d’enseignement secondaire dans quatre comtés (Kajiado, Kilifi, Makueni et Uasin Gishu), tous choisis en fonction de facteurs de marginalisation des filles tels que le taux de pauvreté, les taux de scolarisation et les résultats scolaires.
Les résultats d'apprentissage du projet sont concrets : par exemple, en moyenne, une fille qui passe le temps recommandé par semaine sur la plateforme EdTech voit son niveau en maths s'améliorer de 18 mois. Grâce à ces résultats, le projet a été largement salué et présenté comme un exemple de travail efficace sur l'utilisation de la technologie dans l'éducation des filles (article de City A.M.).